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  • : Discussions généalogiques sur la famille druille
  • : Echanges sur le patronyme DRUILLE, et sur les familles alliées.
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Je viens de lire un article qui traite de l'Annuaire des blogs généalogiques.

Le webmaster y a inscrit mon blog, je ne peux que le citer moi-même tout en le félicitant et le remerciant.

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8 avril 2020 3 08 /04 /avril /2020 15:44

Bonjour,

Un déménagement pour un généalogiste est rarement du plaisir. Mais parfois, cette épreuve ardue peut révéler des informations enfouies et oubliées.

Suite à mon déménagement en mars 2020, avec de la chance juste avant l’instauration du confinement, j’ai consacré du temps à faire du rangement dans mes cartons. Car des cartons de généalogie, j’en avais plusieurs non ouverts depuis plus de 10 ans. Et notamment ceux concernant mes recherches dans l’Aveyron.

En ouvrant ce carton de livres anciens sur l’Aveyron, et sur des auteurs et des sujets réunis au siècle dernier, portant sur les familles de RODAT, NOEL, DUPUY, THEDENAT, VALADIER, VIGOUROUX ou BOURDIOL, j’ai retrouvé le livre écrit par Abel Hermant « Heures de guerre de la famille Valadier », puis celui de Claude Petitfrère « Le Général Dupuy et sa correspondance » et aussi celui de André Ancourt « Chroniques Villefranchoises ». Ce dernier est dédicacé en 8/1944 « A Monsieur Félix Portal mon collègue de la société des amis de Villefranche et du bas-Rouergue, sympathiques souvenirs » ; au crayon en dessous « André Ancourt, place de la république Villefranche de Rouergue ».

Comme je me suis lancé dans le recensement de tous mes livres et notamment ceux rassemblés ou achetés ces 5 dernières années, je me suis demandé si j’avais déjà saisi ces anciens livres achetés au siècle dernier dans les multiples librairies de vente de livre d’occasion en région parisienne (j’en fréquentais 7 ou 8 comme la librairie Pages d’histoire, ou la librairie Guenegaud. Une recherche informatique dans mes anciens fichiers n’a pas trouvé cette liste (j’ai donc un sacré boulot qui m’attend) mais par contre ma fiche généalogique DRULHE a ressurgit. J’y avais écrit en 1999 « Extrait dans sa totalité des « Chroniques Villefranchoises / Une vieille famille villefranchoise: DRULHE 1341-1843 » par ANDRE ANCOURT ».

Dans les années 90, j’avais bien exploré cette branche et cherché avec mes propres ancêtres agnatiques sans résultat. Je n’avais pas trouvé non plus de liens avec mes ancêtres aveyronnais, mais j’avais fait cette saisie complète pour le futur et j’avais aussi saisi toutes ces personnes dans mon logiciel Geneatique du CDIP.

Quel challenge aujourd’hui de compléter toutes les informations manquantes dans ma fiche, mais aussi quels possibles échanges avec le monde des généalogistes qui s’est certainement penché sur ces personnes au cours de ces 20 dernières années. J’espère apporter un petit peu de bribes aux généalogistes intéressés par le patronyme DRULHE.

Merci le déménagement.

Bruno

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25 janvier 2020 6 25 /01 /janvier /2020 21:46

Super, motivé par de nouvelles recherches que j'ai eu envie de publier, j'ai retrouvé mon login/password d'overblog (égaré depuis plus de 5 ans !!).

 

Bonjour,

Je recherche les descendants de Jean Bonnery X 6/10/1929 à Toulouse avec Jeanne Aunos

 

Je souhaiterais partager l'histoire familiale avec les descendants de Jean Bonnery +24/11/1969 à Toulouse.

Ce Jean Bonnery et sa famille fréquentait mon père Jean Druille. Ils se voyaient au moins une fois par an, mais j'étais trop petit pour assister aux rencontres (ou bien je ne me souviens plus).

J'ai trouvé par les recherches généalogiques qu'ils étaient cousins.

Jean Bonnery ° 20/1/1902 à Toulouse, était fils de François Antoine Bonnery et de Anne Pascale Guimbaud, X 11/10/1900 à Toulouse.

Mon père est ° 26/6/1906 à Toulouse. Son grand-père Jean Antoine Druille +27/12/1924 à Toulouse.

Ce Jean Antoine Druille a perdu sa première épouse Peyronne Lavergne + 13/3/1875 avec 4 enfants en bas âge dont la dernière Madeleine ° 6/3/1875 (et donc j'en conclue que sa mère décède des suites de l'accouchement).

Il se remarie le 19/4/1877 à Toulouse avec Jeanne Guimbaud et reconnaît lors de ce mariage une fille née avant mariage, Anne Pascale Druille. L'acte de naissance de Anne Pascale Guimbaud (Druille), n°3 le 11/4/1876 à Aigrefeuille, ne rectifie pas son nom de baptême et n'inscrit pas la reconnaissance. L'acte suivant n° 4 date du 11/5/1876 correspond à la reconnaissance par la mère. Et l'acte qui suit après, le n°5, est le décès le 15/8/1876 de la petite Madelaine Druille âgée de 17 mois. C'est le même déclarant, Jean Prim, pour cette naissance et ce décès. Madelaine n'est pas décédée dans la maison de son père, celui-ci avait du la mettre en nourrice, il exerçait la profession de maçon charpentier et devait vivre souvent sur les chantiers de la région de Toulouse.

Est-ce d'ailleurs lors d'un de ces chantiers qu'il a séduit Jeanne Guimbaud ?

Jean Antoine, ° 22/3/1840 à Odars, a 18 ans de plus que Jeanne Guimbaud qui est ° 8/1/1858 à Auzielle.

Jean Antoine Druille et Jeanne Guimbaud auront ensuite un fils, Marius Raymond ° 5/6/1879 à Toulouse.

Et pas d'autres enfants, peut-être à cause du métier de maçon charpentier mais également parce que Jeanne doit aussi s'occuper des enfants du premier mariage (dont mon grand père Raymond Druille). Et surtout aussi parce qu'elle décède jeune le 10/12/1887 à Toulouse, à moins de 30 ans (des suites d'une fausse couche???). L'histoire familiale qui m'a été rapportée indique que Jean Antoine s'est remis en ménage avec Jeanne Marie Lavergne veuve Roussel et sœur de sa première épouse. La plus jeune sœur de mon père m'a aussi appris que son grand-père Jean Antoine avait donc élevé 2 enfants, Raymond Druille et Anne Roussel. J'ai compris sans en avoir la moindre preuve que cette Anne Roussel de mémoire de famille était en fait Anne Guimbaud.

Par contre, jamais personne ne m'a parlé de Marius Raymond Druille qui a vécu et s'est marié avec Marie Angèle Siadous. Je suppose que la troisième compagne de Jean Antoine Druille, Jeanne Marie Lavergne, a porté son attention sur le fils de sa sœur plutôt que sur les enfants du second mariage. Car quand Anne Pascale Guimbaud/Druille se marie le 11/10/1900 à Toulouse avec François Bonnery, son père est bien vivant et sa compagne aussi ( Jean Antoine Druille + 27/12/1924 à Toulouse, indiqué veuf de Jeanne Guimbaud et Jeanne Marie Lavergne + 8/11/1911 à Toulouse, veuve Roussel), mais son acte de mariage reprend son nom de baptême et elle signe aussi Guimbaud, il n'y a nulle mention de Druille. Si Jean Antoine Druille a « blessé » sa fille au point qu'elle rejette son nom lors de son mariage, je pense qu'elle aura quand même gardé une bonne estime de son demi-frère Raymond Druille de 6 ans son aîné puisque leurs enfants se seront côtoyés.

 

Sur le site des archives municipales, les registres de mariages s'arrêtent à 1918. C'est bien dommage car j'aurais aimer consulter celui de Marius Raymond Druille le 8/4/1919 avec Marie Angèle Siadous (et savoir s'ils ont eu des enfants).

Dans le registre des enregistrements de succession, la table alphabétique côte WQ5982, il y est bien noté Jean Antoine Druille âgé de 84 ans et décédé 15 rue Bernard Mulé veuf de Guimbaud, mais sans déclaration de succession. Il faut en conclure qu'il aurait tout cédé de son vivant.

Bruno

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22 décembre 2014 1 22 /12 /décembre /2014 17:06

Dans l'immédiat, c'est très simple à comprendre.

Surtout si pour le pas si lointain 1er novembre vous êtes entré dans un cimetière pour honorer la mémoire de vos ancêtres.

Pour les caveaux de moins de 150 ans, vous pouvez trouver des indications très lisibles et des liens familiaux totalement ignorés, surtout pour les cousins et collatéraux. Les décès sont les actes aléatoires les plus difficiles à trouver si on ne consulte pas les actes notariés. Sur les pierres tombales vous trouverez toujours l'année quand ce n'est pas la date exacte.

Mais beaucoup mieux si vous pouvez interroger les services municipaux qui gèrent les cimetières.

En relevant le numéro de la concession ou en ayant la date de décès d'un de vos ascendants, vous obtiendrez la fiche de suivi de la concession. Je n'ai pas du tout une connaissance exhaustive des pratiques des services des cimetières. Je connais celui de Toulouse et de quelques autres de petites villes et villages de Haute-Garonne et de Charentes-Maritimes.

Dans le caveau de mes ancêtres se trouvant à Terre-cabade à Toulouse (ROUSSEL DRUILLE), j'ai pu obtenir la fiche sans problème. Elle m'a apprit bien plus que ce qui restait lisible sur le caveau. Mais même dans ces fiches il subsiste des manques ou des imprécisions. Des 10 personnes inhumées de ce caveau, j'ai établi les liens généalogiques sauf pour une Justine Druille dont je ne trouve trace nulle part. C'est là que c'est génial. En vous mettant sur une piste difficile, cette généalogie vous oblige à chercher des lieux et des dates écartées de base. C'était la première fois que je trouvais ce prénom de Justine.

En cherchant cette Justine Druille à Toulouse, alors qu'à cette période je n'avais aucun Druille dans Toulouse, j'en ai trouvé 2 (2 Justine Druille !), et sans trouver celle du caveau. Tous les Druille que j'avais déjà, hormis mon grand-père venu à Toulouse fin XIX°, avaient vécus dans des villages du Lauragais. Cette recherche m'a fait découvrir tout plein de cousins insoupçonnés, des Druille mais aussi bien sûr d'autres patronymes. Et surtout j'y ai aussi trouvé le décès de mon arrière arrière grand-père Louis Germain Druille que je cherchais depuis au moins 15 ans, inimaginable qu'il soit à Toulouse vu sa vie ailleurs.

Une des 2 Justine est née à Agde, son père Antoine né à Escalquens se marie avec Marguerite JULIA du village d'Auriac et s'expatrie pour vivre de son travail de charpentier. Ses 5 autres enfants naitront tous à Toulouse. 3 garçons ne vivront que quelques mois, la 2° Justine (les 2 soeurs Justine ont 10 ans d'écart) décèdera à AUCH à 80 ans (je n'ai pas encore trouvé le décès de l'aînée après 1911, alors que la Justine du caveau est inhumée en 1892). Et il y a le fils Antoine Jacques marié en 1898 à Marie BIRE dont je dois trouver toute la descendance.

Bref, doublement merci le caveau.

Je m'adresse aux futurs cousins BIRE, PRADEL et CALVET pour qui le patronyme DRUILLE fait partie de leurs ancêtres.

Nous pourrions mettre nos recherches en commun, j'ai pour vous l'ascendance Druille sur 10 générations.

 

Bruno Druille

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26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 20:59

 

La généalogie descendante nécessite beaucoup de temps et de patience. Une méthodologie s'impose : lors de la consultation d'un registre, il faut systématiquement consulter tout le registre et enregistrer le maximum de données.

J'ai récemment découvert une piste pour de nouveaux cousins DRUILLE, insoupçonnés, lors d'un autre type de recherche.

Je tiens à découvrir la date et le lieu de décès de mon arrière-arrière-grand-père Louis Germain DRUILLE (j'ai sa naissance, son mariage, ses ascendants et frères et sœurs...).

Comme il a eu une vie de famille mouvementée, je n'ai pas de précisions sur sa date et ville de décès. L'histoire familiale attribuait déjà à son fils Jean Antoine une fin de vie en ménage avec sa belle sœur ROUSSEL.

Mon arrière-grand-mère Pétronille LAVERGNE épouse de Jean Antoine DRUILLE est décédée jeune en 1875, quelques jours après un accouchement. Mon grand-père RAYMOND DRUILLE n'avait que 5 ans au décès de sa mère. Une sœur de Pétronille de 2 ans sa cadette était aussi veuve, d'Alexandre ROUSSEL, avec une fille en bas âge. L'histoire familiale avait retenu que Anne ROUSSEL et Raymond DRUILLE avaient été élevés ensemble.

En cherchant le décès de Louis Germain, j'ai approfondis ma connaissance de la vie de mon arrière grand-père. J'avais son décès en 1924 depuis mes tous premiers pas dans la généalogie, mais je ne l'avais pas étudié à fond. En fait, il est décédé veuf, mais pas de Pétronille LAVERGNE, veuf de Jeanne GUIMBAUD. J'ai retrouvé son deuxième mariage en 1877, alors que je supposais qu'il était resté veuf. J'ai appris par ce mariage que son père était vivant et vivait avec son fils. Et j'ai trouvé des enfants de ce deuxième mariage.

D'abord une fille, née en 1876 avant mariage et ayant conservé le nom de sa mère, même si le mariage en 1877 la reconnaît comme enfant née avant mariage. Elle se marie avec François BONNERY. Je me souviens que mon père fréquentait une famille BONNERY, certainement des cousins. Mais j'ai aussi trouvé un deuxième enfant, Marius Raymond né en 1879 et portant bien le nom de DRUILLE, et qui s'est marié en 1919 avec Marie Angèle SIADOUS. Je n'avais jamais entendu parler de ce couple !! J'espère qu'ils ont eu des enfants et de la descendance et que je vais les retrouver.

En fait, mon grand-père Raymond DRUILLE a sans doute été élevé avec sa demi-soeur Anne Pascale GUIMBAUD et son demi-frère Marius plus jeune de 9 ans. Mais que s'est-il passé, encore beaucoup d'investigations en perspective, pour comprendre la séparation de ces personnes.

Il me tarde de trouver le décès de mon arrière-arrière-grand-père Louis Germain DRUILLE, car son épouse Marie Louise SERAN est aussi décédée jeune, en 1850, son fils Jean Antoine n'avait que 10 ans, et curieusement je n'ai trouvé qu'un seul autre enfant né en 1848 (dont j'ai trouvé toute la descendance dès 1992 et des contemporains vivants à Villefranche de Lauragais). Peut-être qu'il s'est lui aussi remarié !

Tableau généalogique spécifique Louis Germain DRUILLE.

Bruno

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